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À ce pouvoir de dominer les citoyens, ces quelques milliardaires rêvent d’y ajouter le salaire universel (un bon moyen d’appâter les gens, puis de changer les règles et d’imposer ce qu’on veut, comme par exemple les faire travailler beaucoup en les payant peu - n'oublions pas que Jacques Attali souhaite et tente de faire passer l'idée qu'à l'avenir "plus de la moitié des travailleurs ne seront plus salariés", cf. Dictionnaire du XXIe siècle, Fayard, 1998, p. 311), mais surtout la disparition de l’argent liquide (le cash). Car l’argent liquide signifie l’indépendance: acheter la pâtisserie, les légumes ou le meuble qu’on veut, où on veut, sans demander la permission à personne. Si cela disparaissait, si tout se faisait obligatoirement par une carte bancaire, alors ils pourraient avoir une capacité politique et informatique, par robot, de punir quiconque ne leur obéit pas en bloquant sa possibilité d’acheter. Chaque individu serait tenu à la gorge : s’il désobéissait, il serait privé de son pouvoir d’acheter. Jusqu’à la nourriture. Cette tyrannie a déjà commencé au Canada, qui a bloqué des comptes de soutien aux manifestants pacifiques, en interdisant de leur donner un sandwich ou une boisson sur les lieux de manifestation (!) Pourquoi? Parce que les solutions politiques proposées par ces manifestants ne plaisaient pas au gouvernement.

Les mauvaises intentions de certains politiciens occidentaux sont donc déjà là. La technologie informatique est prête. Il ne manque plus que les citoyens acceptent, peu à peu, de laisser l’argent liquide disparaître.

En Suisse, avez-vous remarqué que les stations d’essence (possédées par des groupes appartenant à de grands milliardaires) ont soudain, pendant les confinements, changé partout (sans raison et à grand frais) leurs bornes de paiement à l’extérieur? Ils ont mis de nouvelles machines qui n’ont plus la possibilité que l’on paie avec de l’argent liquide, alors que cela se faisait depuis toujours: on avait le choix entre la carte bancaire ou l’argent liquide. Pourtant les anciennes machines, dans lesquelles il y avait l’option de payer par argent liquide, étaient en bon état. Elles n’avaient pas besoin d’être changées. Avez-vous remarqué que les nouvelles machines ont en sus une étrange possibilité de payer par QR code, alors que ce mode de paiement dans un automate n’existe pas encore en Suisse? Pourquoi ces changements coûteux en 2020 et 2021, au moment précis où les automobilistes achetaient moins d’essence à cause des confinements? (Et quand on ignorait qu’il y aurait au futur des problèmes en Ukraine, et une hausse des prix du carburant?) Ce n’est pas logique… à première vue. Et ce sont presque toutes les stations d’essence du pays qui ont fait cela. (Tandis que des petites entreprises familiales n’ont pas changé leur machine automate extérieure: on peut encore y payer le carburant en argent liquide si on le souhaite). Est-ce un coup de folie, de la part de ces gros vendeurs de carburant, de payer pour rien, de jeter l’argent par les fenêtres, en changeant à grands frais des machines qui fonctionnaient bien? D’autant plus qu’ils perdent des clients qui payent en argent liquide? Certainement pas. Les employés et les directeurs de ces grandes entreprises ont sans doute reçu des ordres de leurs chefs hauts placés…

De même, la plupart des suisses possèdent une carte bancaire du groupe «Postfinance». Cette carte ne pouvait pas servir dans les commerces à l’étranger : il fallait retirer de l’argent liquide et ensuite payer en liquide dans les commerces. Mais ô, comme par hasard, comme par miracle, voici que cette carte s’est transformée (en 2022) en MasterCard qui est apte à être utilisée presque partout, y compris dans des commerces étrangers! Cette Institution financière a donc fait de grands efforts, à grands frais, pour donner à des millions de personnes une MasterCard et pour faire disparaître une situation particulière qui nécessitait absolument de passer par d’argent liquide. Et sans raisons : car si c’était pour se maintenir dans la concurrence, elle n’aurait eu qu’à proposer gratuitement cette MasterCard à ceux qui le souhaitent. Mais elle l’impose à tous ses clients, qui n’ont pas le choix de pouvoir refuser cette nouvelle carte. (Cette carte remplace obligatoirement l’ancienne). Maintenant, si le client le souhaite, il peut donc tout payer par carte: il n’est plus obligé de payer en liquide dans certaines situations, comme c’était le cas avant. Cette banque a probablement reçu des ordres de la part de ses chefs hauts placés. Eux-mêmes reçoivent des directives de la part de leurs puissants groupes banquiers propriétaires, ou de la part d’instances de régulations bancaires internationales… là où, en haut, des demandes de milliardaires sont décrétées.

Comme le dit le proverbe américain: «Je n’ai pas la preuve que c’est un canard. Mais cela a l’apparence d’un canard, et cela fait “coin” “coin” comme un canard, donc il faut se poser la question: "est-ce un canard?"» Dans notre cas, cela a l’apparence de préparations avant de faire disparaître l’argent liquide. Ces préparations semblent provenir d’ordres donnés depuis le haut de la pyramide des vendeurs de carburant (puisque plusieurs ont changé leurs automates extérieurs de paiement), et depuis le haut de la pyramide des banques, donc depuis le sommet de grands groupes financiers qui possèdent une partie des richesses mondiales. Ces grands propriétaires (ces actionnaires) sont, précisément, certains mêmes groupes milliardaires impliqués dans les scandales des confinements et de la réduction de la population (par l’augmentation des morts) à cause des injections géniques (appelées "vaccins" contre la Covid).

Comment inverser la tendance de la disparition de l’argent liquide? En payant le plus possible en argent liquide. (Et ce n’est pas un hasard si des politiciens ont fait peur aux gens d’attraper une maladie en touchant l’argent liquide, et qu’ils interdisent encore maintenant des médicaments très efficaces contre la Covid, d’où la gravité de la maladie chez certaines personnes fragiles... alors que la Covid se soigne très bien avec les bons médicaments et qu’elle ne devrait donc plus faire peur, même à nos proches fragiles).